les foins
Mots-clé : c’est pas un peu monotone ce gag à répétition ?
Pour avoir de jolies fleurs sur nos prairies de fauche, faut faucher une fois l’an, faire les foins. C’est tout un art !
Les lavandes fines sauvages commencent à fleurir sur les rochers. Et les abeilles commencent à s’y intéresser.
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Page précédente perdus dans les nuages
perdus dans les nuages en haute montagne
Mots-clé : Heureusement que je connais les alpages (et qu’on était sur la route, lol)
C’est vrai quoi, quand on la provoque la montagne se venge… Pour une fois que nous arrêtions les travaux pour nous promener…
Mais on a eu aussi ce temps là beaucoup plus agréable le lendemain sur l’alpage à marmottes
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Page précédente où je remue beaucoup de poussière
un peu de propre
Mots-clé : il en rate pas une !
C’est vrai quoi, on charrie tout le temps de la terre (ou de la poudre de ciment) sous nos souliers à la campagne… Et après Tine elle est pas trop contente becose que c’est tout poussiéreux quand ya des invités…
réforme de l’orthographe pour les nouveaux bacheliers recrutés à la Direction Départementale de l’Equipement, chargés de gérer les affichages à Roubion
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Page précédente où mariuss trimballe du ciment
les sacs de ciment
Mots-clé : maladresse et fatigue conjuguées
Dire qu’avant je gambadais avec des sacs de 50 kg, puis ce fut 35 et maintenant voyez le résultat avec 30 kilos… Sinon, je reste totalement jeune….
Un loir voleur de croquettes de ma chatte qui ne réagit même pas… Tout se perd, entre l’effronterie des uns et la perte du sens du devoir des autres chasseuses de souris, pffff
Page précédente avec une chatte heu-reu-se !
convalescence
Mots-clefs : Plus jamais un animal
Qui c’est qui va devoir retarder son départ en vacances pour le mignon chaton qui a pris un abonnement chez le véto ? C’est Tine et maaariuss…..
Page précédente où Bastet s’attaque la queue
pire qu’une scène de crime
Mots-clé : boucherie
Je vous raconterai la suite une fois connue… Mais je la sens mal….
Page précédente avec l’écobuage
écobuage
Mots-clé : Laisse faire le spécialiste Moumoune !
Nous avons brulé dans le bidon le tas de végétaux résultant du débroussaillage légal. Et Tine est ma reine du feu.On ne peut pas en dire autant de moi…
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Page précédente avec l’enfumoir
l’enfumoir
Mots-clé : grand consommateur de savon le mariuss
L’enfumoir est un accessoire indispensable à l’apiculteur pour enfumer et calmer les abeilles, mais c’est un objet assez capricieux… L’idéal est une fumée blanche et froide au moment où on en a besoin pour intervenir sur la ruche… C’est tout un art… que je ne maîtrise pas toujours très bien
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Page précédente avec le ramoneur
le petit ramoneur
Mots-clé : chauffage au bois = écologie et propreté
Des fois je me sens plus savoyard que montagnard, comme du temps où on envoyait ramoner les zenfants de cette belle province dans les cheminées. Je vous raconte pas pour faire partir la suie après à l’eau froide….
L’était un ramoneur, un petit savoyard
Pas plus haut que trois pommes et déjà débrouillard
De ses belles boucles brunes, sous un bonnet enfouies
Emergeait une frimousse,toute maculée de suie
Son visage d’ange noir, était illuminé
Par de beaux yeux saphir, de très longs cils ourlés
Qui octroyaient déjà du haut de ses dix ans
La sagesse d’un homme, à ce tout jeune enfant
Il était «Le» garçon, aîné de cinq p’tites filles
Le ménage était pauvre, pour faire vivre sa famille
Le père courait les routes, il était colporteur
Sillonner les chemins, était un dur labeur
Mais rentrait au logis après des jours d’errance
Sans pouvoir assurer à tous, leur subsistance
Ils étaient malheureux, cela était notoire
Et huit bouches à nourrir, c’était plus qu’illusoire
Tout fut envisagé, pour chercher solution
Une seule fut trouvée : S’affranchir du garçon !
Ce fut lui, le p’tit gars, agile farfadet
Qui irait ramoner des conduits d’cheminées
Enrôlé dans un groupe,que l’on nommait «Farias»
Il quitta sa famille le jour de la Saint- Gras
Il cheminait à pied allant de ville en ville
Le travail était rude et le Maître était vil
Après qu’il eut fini d’harassantes journées
Il lui arriva souvent, de devoir mendier
L’argent mis en commun assurant la survie
Accordait cependant que pain noir et bouillie
Il travailla neuf mois, sans trêve ni repos
Quelque puisse être le temps, qu’il soit mauvais ou beau
Quatorze heures par jour, au rythme démentiel
Et ne put regagner le foyer paternel
Qu’à la fonte des neiges, quand revint le printemps
Afin que de pouvoir aller aider aux champs
Et le Maître, aux parents, pour prix de ses travaux
Remit pour tout salaire : Le prix d’un jeune veau !
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