…reçoit un bizou
Mots-clé : moi j’aime bien les traditions
Comment Biberonnette qui était en stage dans les Alpages, est-elle revenue à Paris ?
Ben j’ai pris le train des pignes pour aller acheter des clopes, la Seuneuceufeu s’est gourée et m’a amenée en Bourgogne au lieu du bord du Lac de Nice, là j’ai fait du stop et c’est l’autre sportive, là, qui m’a pris. Mais, ventrecornichou, elle conduit vite avec ses pneus neige !
Page précédente où Biberonnette aime aussi la tradition
mais comment se réchauffer ?
Mots-clé : froidure, Bugatti
Une coupine me demandait : « Comment les girafes se réchauffent-elles quand la bise fut venue sur les hauts plateaux africains l’hiver, au pied du Kilichose enneigé ? »
Ben, une vente presque estivale d’un bronze chez Sotheby’s, m’a fourni la solution.
Girafe, le cou tendu et Girafe en train de boire 1907 ? Rembrandt Bugatti Bronzes patinés adjugés 734400 dollars l’ensemble des deux sculptures chez Sotheby’s ce 19 juin 2010
Rembrandt Annibale Bugatti (1884 Milan – 1916 Paris, artiste sculpteur animalier italien. Il est le frère cadet d’Ettore Bugatti (les bagnoles en 1909 comme la roadster 55 de 1932 ou l’une des 57S unique des années 30 pour le pique-nique)
Page précédente où une petite violette…
lendemains qui déchantent
Mots-clé : la mort des rêves, poids des ans
Le réveil fut difficile… Je rêvais d’une perle « sortie de grange » c’est à dire, un véhicule historique particulièrement bien conservé, ayant très peu roulé… Celle ci, de mon âge pile-poile, était dans une grange dans la Sarthe (la Sarthe c’est le pays d’ EvelyneJ) depuis 35 ans, la dernière fois qu’elle avait servi c’était en mai 68 à Paris, lol… Prête à restaurer… On peut rêver même si j’y comprends quedalle en mécanique, non ? Bien sûr, c’est un clin d’oeil au cadeau que m’a fait Youppis sur son blog, lol
(En fait, ma Mégane break est dans la naphtaline dans ma grange de ma ferme viticole saintongeaise, car j’ai changé de voiture au moment où j’ai ouvert ce blog)
On m’avait encore jamais traité de Pappy sauf ma jeune amie pour se foutre de moi une fois… Grrrr
Documentation : La MG sortie de grange, en fait 1953, qui m’a servi de modèle pour le dessin (celle du site de Youppis est une 1952 semble-t-il)
Page précédente avec la fête du miniversaire de moi
tag bagnole
décapant 7 Excellence
Mots-clé : course automobile,la gagne
Reims, Circuit de Gueux en Champagne : Le 12 septembre, Cocci remporte le prix de l’Excellence avec sa zoulie voiture rouge, sous les encouragements de Marie et Arnica venus l’applaudir. Bravo Cocci, t’es la meilleure !
Je crois que maintenant tous nos zamis et zamies vont pouvoir rejoindre la grange de marius pour y fêter le miniversaire et boire au succès de nos zhéroïnes. Y viendrez vous, demain soir ?
Photos de l’été (à la demande de certaines) :
Je viens de mettre 30 mètres au feu avec ma caisse à une Audi CC rouge qui vrombissait, hin hin hin, petit joueur ! Suffit pas d’avoir une voiture encore faut-il savoir la conduire (et d’une main puisqu’avec l’autre je cliquais sur mon téléphone pour garder la preuve), frimeur !
Page précédente où Mlle Marie et Arnica vont à Reims sur leur vélocipède
happy end
Mots-clé : la clé du mystère
Alors, Tine m’a expliqué. Tout, les cigarettes, ma responsabilité, les paris en ligne, les bisoux pour payer les voleurs du net, les héros en bleu, bref, on a décidé que nos doudous, la poupée de Tine, Pelé et son nounours Cyrillusse, n’étaient en rien fautifs. Alors on a accédé à leur demande. On a peut-être eu tort. C’est pas simple d’élever des enfants. Comme d’habitude, j’ai rien compris. Mais en ce jour d’été, tout est bien qui finit bien.
Cette histoire de bisoux et de voleur de bisoux a été la plus compliquée de toutes les quêtes que j’ai eu à mener.
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Page où mariuss achète la zoulie voiture et Tine jette les cigarettes et le vilain maillot
désamorçage
Mots-clé : SPDD
En plus, le dimanche tout est fermé quand on cherche quelque chose de précis, sans compter que j’ai toujours pas compris le coup du vol de bisoux. décidément, il va falloir que Tine m’explique un peu, passe que là, moi je suis largué (je m’en souviendrai de ma fête des pères 2010…)
Notez, qu’il arrive que d’autres petitous soient pas mal non plus…
Pis un truc de dingue, assez bien vu chez Petites contrariétés de Soph
Page précédente où il est apparu que notre société n’est pas toujours un chemin bordé de roses
l’exemple pour les petits
Mots-clé : un modèle, des héros
C’était quand il y avait la zoulie voiture rouge, comme la Ferrari à Anelka. Alors Cyrillusse, il a eu une idée, on serait Anelka et la copine à l’autre, celle qui est si bien habillée. Et on est allé flamber… Et…
Liberté
Sur mes cahiers d’écolier
Sur mon pupitre et les arbres
Sur le sable de neige
J’écris ton nom
Sur les pages lues
Sur toutes les pages blanches
Pierre sang papier ou cendre
J’écris ton nom
Sur les images dorées
Sur les armes des guerriers
Sur la couronne des rois
J’écris ton nom
Sur la jungle et le désert
Sur les nids sur les genêts
Sur l’écho de mon enfance
J’écris ton nom
Sur tous mes chiffons d’azur
Sur l’étang soleil moisi
Sur le lac lune vivante
J’écris ton nom
Sur les champs sur l’horizon
Sur les ailes des oiseaux
Et sur le moulin des ombres
J’écris ton nom
Sur chaque bouffées d’aurore
Sur la mer sur les bateaux
Sur la montagne démente
J’écris ton nom
Sur la mousse des nuages
Sur les sueurs de l’orage
Sur la pluie épaisse et fade
J’écris ton nom
Sur les formes scintillantes
Sur les cloches des couleurs
Sur la vérité physique
J’écris ton nom
Sur les sentiers éveillés
Sur les routes déployées
Sur les places qui débordent
J’écris ton nom
Sur la lampe qui s’allume
Sur la lampe qui s’éteint
Sur mes raisons réunies
J’écris ton nom
Sur le fruit coupé en deux
Du miroir et de ma chambre
Sur mon lit coquille vide
J’écris ton nom
Sur mon chien gourmand et tendre
Sur ses oreilles dressées
Sur sa patte maladroite
J’écris ton nom
Sur le tremplin de ma porte
Sur les objets familiers
Sur le flot du feu béni
J’écris ton nom
Sur toute chair accordée
Sur le front de mes amis
Sur chaque main qui se tend
J’écris ton nom
Sur la vitre des surprises
Sur les lèvres attendries
Bien au-dessus du silence
J’écris ton nom
Sur mes refuges détruits
Sur mes phares écroulés
Sur les murs de mon ennui
J’écris ton nom
Sur l’absence sans désir
Sur la solitude nue
Sur les marches de la mort
J’écris ton nom
Sur la santé revenue
Sur le risque disparu
Sur l’espoir sans souvenir
J’écris ton nom
Et par le pouvoir d’un mot
Je recommence ma vie
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer
Liberté
Paul Eluard
Page précédente, où l’on comprend que si Pelé était verte et vomissait c’était pas un excès de brioche
niveau 5, on vous avait prévenu !
Mots-clé : Ca alors ! que fait-elle là celle là ?
Et au détour du dernier virage : la surprise ! Qui c’est qui fait du stop avec son baluchon en filet de pêche ? Heureusement que les filles ont de bons réflexes !
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tag Jeu
niveau 4, la surprise
Mots-clé : les zamies progressent sur une route en lacets, rallye, autostop
J’ose pas dire « dernière ligne droite » jusqu’à ma grange de chez les loups, car sur cette route étroite, viroleuse, pleine de lacets et de pièges avec cinq tunnels, la falaise à droite,le ravin à gauche, il y a PAS UN SEUL BOUT de DROIT ! C’est simple c’est la route des Grandes Alpes, utilisée par le rallye d’Antibes, le rallye de Monte-Carlo ou bien me semble-t-il une année précédente par le rallye des princesses.
Mais je parle, je parle et nos zamies ne sont plus qu’à quelques virages de notre grange. Je crois qu’elles veulent nous faire la surprise pour la f^te des voisins. On prendra l’air surpris, Tine et moi, mais on a accroché les ballons à l’entrée de la piste.
Le rallye des Princesses:deux princesses dans une vieille dame jaune en 2009 et le logo de calandre de l’édition 2010 de dimanche 30 mai
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tag Jeu
niveau 3, bientôt la grange…
Mots-clé : les zamies progressent, gorges rouges en dessous de ma grange, route sans parapet
C’est très difficile de parvenir jusqu’à ma grange, car il faut emprunter, au péril de son pooovre dos, une route de rallye déformée et pleine de trous horriblement dangereuse sans parapet, qui vire et tourne dans tous les sens au travers des gorges rouges…
Gorges rouges que certains connaissent déjà pour les avoir parcourues dans le camion de mon tifrère, ma poule
Me demandez pas plus de précision sur ce type de jeu, j’y ai jamais joué, c’est déjà beau que j’ai compris qu’on s’agite avec une manette devant un écran ^-^ ……
Mais, ce qu’il faut pas faire quand même pour recruter un public djeune, pfffff
Page précédente où mes zamies tentent d’atteindre le niveau 2 du jeu
tag Jeu
lets go to the Grange
Mots-clé : Wii, 3 ans et plus, le nouveau jeu qui décoiffe
On regrette pas d’avoir acheté les manettes, passe qu’il est vachement bien ce jeu ! Bon, comme on est petites, on a un peu de mal à passer au niveau deux, mais on va y arriver… Wiii !
Je ne donnerai pas la soluce pour éviter de tomber dans la mer du haut des falaises cauchoises. Cherchez un peu, ou alors consultez le net…. Même pour les toutes petites de moins de 3 ans qui devraient dormir à cetâge au lieu de jouer à la Wiii !
Les plus âgées que sept ans n’ont peut-être pas toutes les références : mon dessin est pastiche de jeu sur écran avec un certain Mario, héros indémodable pour les enfants et les plus grands, et d’un autre Animals Crossing, lets go to the city, le dessin faisant référence à la pub pour les manettes d’accélération intégrant un gyroscope appelées manettes Wii et leur console de jeu Nintendo Wii.
Et toujours la nouvelle page fixe avec des chtites fleurs sauvages : Fleurs de mai à ma grange
Page précédente où mes zamies tentent de venir me voir avec leur zoulie voiture rouge
on va voir mariuss à sa grange
Mots-clé : escapade sur les routes, sens de l’orientation
Ca s’est décidé très vite : Mes amies ont dit » allez, on file faire la surprise à mariuss dans sa grange « . Le temps de mettre les doudous dans une valisette, l’ombrelle des fois que… et hop en voiture pour ce beau week end. Qu’est-ce qu’on va s’amuser ! Encore mieux que si on était allées à la plage se baigner !
Im in my grange
And I’m reviendu de ma grange, mais comme j’ai du boulot, je vous mets juste une nouvelle page fixe avec des chtites fleurs sauvages : Fleurs de mai à ma grange
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à nouveau les copies 1
Mots-clé : me gave graaave, corrections, harcèlement institutionnel, accident du travail
Et c’est reparti ! Les copies, les copies les copies ! Je hais les copies ! grrrrrrrr !
Bon, et comme les copies me gonflent, tout ce qui est bon pour faire autre chose est un véritable aimant pour moi :
alors voilà le résultat de mon test crazy sur les péchés capitaux de chez Douceur Intemporelle
Vous êtes trop sage, il est temps de vous dévergonder un peu !
Vos points: 30 sur 152
Résultat Global:20 %
- La paresse: 23 %
- La gourmandise: 30 %
- L’avarice: 12 %
- L’orgueil: 20 %
- la luxure: 23 %
- l’envie: 33 %
- La colère: 21 %
Ben c’est pas génial comme résultat, envie grrr je vois d’ailleurs pas pourquoi passeque quand je vois un mec dans une Morgan (les décapotables anglaises) cela permet de dire que c’est un péché ! grrr. Encore je verrai des Clara Morgane partout j’aurai accepté le coup de la luxure…
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tag sac
tag copies
the shangaï list
Mots-clé : excellence, Université, Colloque Développement Durable
L’estaque ! Mot magique ! Cézanne, 1883-1886, je me suis dit immédiatement, tant qu’à faire presque 500 bornes aller retour, à séjourner dans ce lieu mythique par une aussi belle journée, j’emporte mes pinceaux, mon crayon, ma boite d’aquarelle et mon carnet, des fois qu’une communication à propos de l’écocitoyenneté soit chiante (cela peut toujours arriver dans un colloque scientifique sur le durabeul) ou qu’on finisse tôt nos rencontres et que je trouve le temps d’aller mater cette côte rocheuse que je ne connais pas entre Carry-le-Rouet, Sausset-les-Pins et Cap Couronne.
documentation : Marseille vu de l’Estaque – Cézanne 1883-85 (Huile sur toile 100×73 Art Institute of Chicago)
Ah ben j’ai pas été déçu. Mais je ne sais pas pourquoi, j’ai pas éprouvé l’envie de barbouiller mon papier au torchon de 300 g. Alors que le soleil était au rendez-vous, le ciel bleu superbe et la vue sur la côte acore et les rochers au loin dominant Marseille fantastique, peut-être une question d’ambiance. Bref je suis reparti sans avoir peindu.
La liste de Shangaï ? Ben c’est le classement des 100 meilleures universités mondiales, la crème de l’excellence. Pourquoi ?
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Trois jours en alpage 1 l’ovni
Mots-clé : blague, OVNI, grange, randonnée, montagne à vaches
1967… I was 15 years old… Purée c’était il y a, ouh, j’ose pas compter…
Mes copains : Barrette, Big et moi, avions programmé trois ou quatre jours de ballade dans les alpages de ce qu’on appelait pas encore le Parc du Mercantour, d’Isola à Puget-Théniers, en passant par les cols. Courses rapides (cartouches de camping-gaz, piles pour les lampes de poche, allumettes, pruneaux, sucre, alcool de menthe, Antésite, soupe de cerf écossais en boite, barres d’ovomaltine, tabac pour la pipe – Clan et Amsterdammer – poignards commando neufs pour remplacer ceux un peu explosés dans nos entraînements ratés sur pins maritimes terminés dans les rochers, la bouffe classique pour trois jours), couture pour remettre en état la canadienne deux places sûrement malmenée en couchant à trois ados, remplacement des mats métal pour alléger par des mats bambous, un bon coup de pierre à aiguiser sur les machettes et plus qu’à trouver un copain plus âgé pourvu du permis et d’une deuche pour nous amener à Isola, 80 km de Nice. Certes, Barrette et Big avaient des bleues Motobécane qui auraient pu les monter avec leur sac à dos – elles les avaient bien amenés jusqu’à Amsterdam pour reconstituer la réserve de Barrette – mais mon Solex l’aurait pas fait, c’est deux ans plus tard que j’aurai les sous pour me payer une grise.
Donc, un vendredi soir, debout à trois à l’arrière de la deuche décapotée, lestée de nos trois sacs à dos de 22,5 kg chacun – la limite que nous nous étions imposé – nous penchant tous du même côté dans chaque virage pour faire chavirer la deuche, nous voilà à l’oeuvre, déposés avec nos vestes militaires, nos ceinturons tissus, nos étuis de poignard et de machette au côté, le sac gonflé sur le dos, l’un avec la tente coton, l’autre le double toit et les 10 m de corde, le dernier avec le camping-gaz, les 4 cartouches de gaz et la hache.
Montée qui tue en hubac dans le vallon de Louch, pour gagner 1000 m de dénivellé en 3 h avant que tombe la nuit. Couchage prévu dans une des innombrables granges d’alpage qui se présenterait bien accueillante avec son foin.
Au coucher du soleil, 20 granges plus tard, toutes hermétiquement closes, hormis leur étage inférieur avec le crottin du mulet, sauf une très abimée au niveau du toit et dont la seule partie suceptible de nous protéger étaient encombrée de migon (crottin séché de brebis) malodorant, nous montons donc la tente sur un replat vers 1700 m, assez loin des mélèzes, au quartier de granges du Pra Soubeyran.
Repas de carnivore dont j’ai oublié les détails, puis, pour économiser les piles, hop, couchés. Evidemment, personne ne dort, et on se raconte des histoires de jeunes. Je me souviens juste d’une qui m’avait beaucoup fait rire :
C’est Sherlock et Watson qui sont dans un camping, sous la tente, et d’un seul coup à 2 h du mat’, Holmes secoue le docteur, qui endormi grommelle. « -Watson, dites moi ce que vous voyez ! »
« -mon cher Holmes, astronomiquement parlant je vois que la Lune est pleine, proche de Jupiter, et aussi plusieurs dizaines d’étoiles qui sont autant de soleils.
Astrologiquement parlant que nous sommes au niveau du zodiaque dans le Scorpion.
Météorologiquement parlant que la nuit est claire, sans halo autour de la Lune, avec un vent frais en altitude et qu’il fera probablement beau demain.
Temporellement parlant, la Lune ayant passé le zénith de 30°, qu’il est probablement deux heures du mat’ et que j’aimerais dormir !
« -… (silence de Sherlock)
« -Quoi, qu’est ce que j’ai dit, Holmes ?
« Watson, vous êtes une burne ! Ce que je vois c’est qu’on nous a chouré la tente !
Une fois que nous avons eu fini de rigoler, Big fit remarquer, qu’en parlant de la Lune, celle-ci était particulièrement brillante cette nuit, on devinait son emplacement au travers de la double épaisseur de coton orangé, tente + double-toit.
Je répliquais que cela ne m’étonnait pas trop, puisqu’il me semblait que c’était la pleine lune.
Silence, la discussion prenait fin…
Quand Big rajouta : « je trouve qu’elle se déplace vite la Lune. Tout à l’heure elle était là à droite vue au travers de la tente et maintenant elle a dépassé la faitière…
Intrigués nous bondissons pieds nus hors de la tente, pour voir un ensemble éblouissant d’une quinzaine de petites lunes en essaim allongé traverser le ciel d’Est au Nord-Ouest, totalement silencieux, et disparaitre derrière la crête de l’Infernet et la tête des Aiguilles, en l’espace de deux à trois minutes. Impossible de dire si les disques brillants étaient à un kilomètre ou à 3. Tout ce sur quoi nous avons pu nous mettre d’accord, c’est l’azimut de la trajectoire.
Je vous raconte pas l’ambiance chez ces trois jeunes de quinze ans, vaillants et surarmés, perdus en montagne vers minuit, à plus de trois heures de marche du premier village.
La peur absolue, renforcée par les lectures débiles de l’époque. Cartésiens, oui, mais plus quand la frayeur grimpe. Qui c’est qui a mal dormi enfoui dans son duvet, la main crispé sur le manche du coutelas, l’autre sur celui de l’Opinel ? C’est les trois zozos…
(nous n’eûmes le fin mot de l’histoire que trois ans plus tard)
L’émotion finit par nous terrasser après moultes hypothèses toutes aussi farfelues les unes que les autres, le seul point d’accord étant que cela ne ressemblait pas aux étoiles filantes, trop brillant, trop lent.
(à suivre)
Par ailleurs j’ai l’air vraiment kon : la blague qui m’avait tant fait rire il y a plus de 40 ans et que j’ai réécrite cet aprème sur mon pocket, je découvre ce soir en me passant un dvd avec Tine, que c’est la chûte finale de « Le crime c’est notre affaire ». Piraaaates !
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la quête 6 le making of
Mots-clé : les dessous (de l’histoire), BD, Le Floch
-Ze vais vous dévoiler les secrets d’un de mes super-pouvoirs :
Ze me suis solidement documenté. Z’ai acheté un livre avec beaucoup des zimages (et pas trop de texte car ze sais pas bien lire) pour pouvoir comprendre et z’ai bien regardé comment Alexis il faisait (c’est le héros, mais bien que son prénom il commence comme le mien, ze n’ai rien à voir avec lui, hein, sauf pour sa voiture à pédales qu’est super)
Saint Germain. Puis rouler vers l’ouest ! de Bruno Le Floch chez Dargaud 2009
abstract : Musicien de jazz, Alexis joue du saxo avec ses amis dans un club de St-Germain-des-Prés et comme souvent, fête et blue note oblige, il passe la nuit au poste.
Au petit matin, Mary, la femme de sa vie, est partie, so sad and so, so sorry car elle ne l’aime plus tout entier.
Alors il se lance dans un road-movie sur les nationales des années 60, embrumé par la fatigue et les vapeurs d’alcool, avec pour tout équipement son saxo, son cabrio 203, un numéro de phone muet et le nom d’une ville : Dinard.
Sa quête obstinée va lui faire croiser la route de Maritie, Marie, Marina, Marielle, Marig… sur des chansons interprétées par « The Voice ». Retrouvera-t-il Mary ?
Si vous aimez les road-movie à la française, le jazz comme moi, le côté rétr vintage, alors foncez dans votre boutique de BD favorite, vous ne le regretterez pas. Et cela vous permettra de savoir ce que Mary est devenue…
Moi, Marie, elle m’a fait un joli sourire. Donc je peux aller me reposer un peu. Et puis je l’emmènerai dans une chasse au trésor avec son épée et son perroquet.
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tag petit Mariuss
journée de ouf 8 (chl’ai pas fait exprès, j’vous jure)
Mots-clé : bah c’est que du plastique mou, aussi ils étaient mal rangés ces tuyaux
J’ai profité que le camion de « ma poule » était là pour charger deux ou trois autres trucs encombrants ou lourds à monter à ma grange d’altitude (genre 200 kilos de ciment et quelques mètres de tuyaux PVC) vite fait bien fait… Vous me connaissez, avec moi, ça traine pas et résultat impec !
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tag journée de ouf
Une nouvelle page La restauration de ma grange de chez les loups Saison 1
quand Mariuss était djeun, mince et svelte 2
Mots-clé : environnement, nostalgie
Je viens de retrouver un autre polycopié, d’il y a 20 ans, illustrant une activité sympa que j’avais eu l’occasion de découvrir : le radiopistage. L’ancêtre du travail sur balise Argos . Pas vraiment différent de quand j’ai été chargé de mission pour développer un satellite pour le CNES et France Télécom, par l’éduc nat. Ici, c’était ma première incursion dans ce domaine de la télédétection du vivant avec vérité terrain, bien que je fus déjà spécialisé en télédétection satellitaire géologique, marine et forestière.J’ai travaillé à Chizé, mais on s’inspirait des lorrains.
La 4L était une version spéciale rallongée. Pour ce qui est du dessin, les gags ne diffèrent pas vraiment de ceux que. je pose actuellement, en fait.
Edit > dans le cadre de sa série sur les transports en commun, Douceur Intemporelle poursuit ses articles. De nouveau, Mariuss, votre serviteur, y sévit du temps qu’il était mince, svelte et jeune. C’est là
EAG
Mots-clé : sport, victoire, hommage, Norman Bretagne
Je veux rendre hommage à une blogueuse, amie de moi, alors une fois n’est pas coutume, je parle de sport.
Une victoire indéniable. Chargé comme il l’était le Gasquet, il était sur un rail jusqu’à la victoire. Il a gagné une jolie coupe, remplie à ras-bord de son poids en lessive (ou autre poudre blanche du même genre).
Le problème c’est que je savais pas qu’il était breton. je croyais qu’il était de Gap. EAG, je pensais que cela voulait dire En Avant Gap. J’m'a gourré, c’est En Avant Gasquet. (bizarre, je connais pas ce circuit de Roland Garros…)
Edit > Mon copain champion du monde, me dit que je dois faire une erreur, Gasquet, c’est un rugbyman. Et que l’équipe c’est pas Ferrari, mais Béziers.
Bah ! EAG. en avant Gasquet !
Purée, le temps que ça prend de dessiner et mettre en couleurs….
Bah, c’est que je vous ai mis ma nouvelle page ma ferme viticole 4
deux vraies cloches…
Mots-clé : andouilles, échelles, transport de ouf, neige
Comme la neige n’est pas fondue au début de la piste d’accès à ma grange de chez les loups, et que je n’aurai plus le break à partir de la semaine prochaine, il a bien fallu transporter cette échelle double de couvreur (6m50 chaque partie) « à la main ».
Je vous raconte pas la galère dans le chemin serpentant en lacets courts qui montent au ciel dans cette forêt pleine d’arbres, puis les deux allers-retours sur 600 m, avec cette échelle de 60 kilos, et enfin finir par hisser chaque morceau jusqu’à la grange. Tout çà pour 30 m infranchissables en voiture, même avec le 4×4 chaîné du plus proche voisin.
Bah, chacun s’occupe comme il peut, pis ça m’a un peu changé des copies.
Au fait, vous les avez toujours pas retrouvées mes copies ?