l’insert
Mots-clé : au chaud l’hiver, écologique car au bois
Vous l’avez rêvé ? Mariuss l’a fait pour vous….. Tine est siouper contente, depuis le temps qu’elle l’attendait.
Avant que cela ne ressemble plus à rien
Le bief d’Aiguesvives sur le canal du Midi lors de notre retour de vacances
Les platanes du Canal du Midi voués à disparaitre
« Ceratocystis fimbriata« , un champignon, peut tuer le platane en quelques mois : c’est la maladie du chancre coloré. A ce jour, aucun remède n’est efficace contre cette maladie du chancre coloré du platane : les platanes contaminés sont brulés pour protéger les platanes sains.
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Page précédente avec la motoculture
motoculture ramillonne
Mots-clé : le maladroit, petit tracteur tondeuse
Les habitants de Sainte Ramée (là oùssqu’on a notre ferme viticole saintongeaise sur les bords de la Gironde) s’appellent des ramillons. Certains ramillonnais ont un hectare de pelouse à orchidées à tondre. Ce jour là le voisin m’avait prêté son petit tracteur tondeuse : un vrai jouet : il secoue certes un peu et envoie de l’herbe partout mais le résultat est propre. Tine a bien aimé…
Elle avait fait tout propre (cheveux, cuisine etc.) pour la venue de sa tite soeur...
Votre serviteur dans ses oeuvres il y a quelques jours…
Tine au jardin, devant quelques roses trémières et son rosier ancien abricot rosé, sur son nouveau jouet prêté (photo prise en été 2008)
Tine ramasse l’herbe (photo prise au printemps 2008)
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Page précédente, deux mois plus tôt à la grange
(je répondrai aux commentaires postés durant les vacances lundi soir29 août)
les foins
Mots-clé : c’est pas un peu monotone ce gag à répétition ?
Pour avoir de jolies fleurs sur nos prairies de fauche, faut faucher une fois l’an, faire les foins. C’est tout un art !
Les lavandes fines sauvages commencent à fleurir sur les rochers. Et les abeilles commencent à s’y intéresser.
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Page précédente perdus dans les nuages
perdus dans les nuages en haute montagne
Mots-clé : Heureusement que je connais les alpages (et qu’on était sur la route, lol)
C’est vrai quoi, quand on la provoque la montagne se venge… Pour une fois que nous arrêtions les travaux pour nous promener…
Mais on a eu aussi ce temps là beaucoup plus agréable le lendemain sur l’alpage à marmottes
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Page précédente où je remue beaucoup de poussière
un peu de propre
Mots-clé : il en rate pas une !
C’est vrai quoi, on charrie tout le temps de la terre (ou de la poudre de ciment) sous nos souliers à la campagne… Et après Tine elle est pas trop contente becose que c’est tout poussiéreux quand ya des invités…
réforme de l’orthographe pour les nouveaux bacheliers recrutés à la Direction Départementale de l’Equipement, chargés de gérer les affichages à Roubion
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Page précédente où mariuss trimballe du ciment
les sacs de ciment
Mots-clé : maladresse et fatigue conjuguées
Dire qu’avant je gambadais avec des sacs de 50 kg, puis ce fut 35 et maintenant voyez le résultat avec 30 kilos… Sinon, je reste totalement jeune….
Un loir voleur de croquettes de ma chatte qui ne réagit même pas… Tout se perd, entre l’effronterie des uns et la perte du sens du devoir des autres chasseuses de souris, pffff
Page précédente avec une chatte heu-reu-se !
écobuage
Mots-clé : Laisse faire le spécialiste Moumoune !
Nous avons brulé dans le bidon le tas de végétaux résultant du débroussaillage légal. Et Tine est ma reine du feu.On ne peut pas en dire autant de moi…
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Page précédente avec l’enfumoir
l’enfumoir
Mots-clé : grand consommateur de savon le mariuss
L’enfumoir est un accessoire indispensable à l’apiculteur pour enfumer et calmer les abeilles, mais c’est un objet assez capricieux… L’idéal est une fumée blanche et froide au moment où on en a besoin pour intervenir sur la ruche… C’est tout un art… que je ne maîtrise pas toujours très bien
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Page précédente avec le ramoneur
le petit ramoneur
Mots-clé : chauffage au bois = écologie et propreté
Des fois je me sens plus savoyard que montagnard, comme du temps où on envoyait ramoner les zenfants de cette belle province dans les cheminées. Je vous raconte pas pour faire partir la suie après à l’eau froide….
L’était un ramoneur, un petit savoyard
Pas plus haut que trois pommes et déjà débrouillard
De ses belles boucles brunes, sous un bonnet enfouies
Emergeait une frimousse,toute maculée de suie
Son visage d’ange noir, était illuminé
Par de beaux yeux saphir, de très longs cils ourlés
Qui octroyaient déjà du haut de ses dix ans
La sagesse d’un homme, à ce tout jeune enfant
Il était «Le» garçon, aîné de cinq p’tites filles
Le ménage était pauvre, pour faire vivre sa famille
Le père courait les routes, il était colporteur
Sillonner les chemins, était un dur labeur
Mais rentrait au logis après des jours d’errance
Sans pouvoir assurer à tous, leur subsistance
Ils étaient malheureux, cela était notoire
Et huit bouches à nourrir, c’était plus qu’illusoire
Tout fut envisagé, pour chercher solution
Une seule fut trouvée : S’affranchir du garçon !
Ce fut lui, le p’tit gars, agile farfadet
Qui irait ramoner des conduits d’cheminées
Enrôlé dans un groupe,que l’on nommait «Farias»
Il quitta sa famille le jour de la Saint- Gras
Il cheminait à pied allant de ville en ville
Le travail était rude et le Maître était vil
Après qu’il eut fini d’harassantes journées
Il lui arriva souvent, de devoir mendier
L’argent mis en commun assurant la survie
Accordait cependant que pain noir et bouillie
Il travailla neuf mois, sans trêve ni repos
Quelque puisse être le temps, qu’il soit mauvais ou beau
Quatorze heures par jour, au rythme démentiel
Et ne put regagner le foyer paternel
Qu’à la fonte des neiges, quand revint le printemps
Afin que de pouvoir aller aider aux champs
Et le Maître, aux parents, pour prix de ses travaux
Remit pour tout salaire : Le prix d’un jeune veau !
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